Par Michel Carrandie

AVANT d'être des lettres les voyelles NAISSENT des sons.

Ne pourraient-elles pas être ("naissances latentes") l'expression corporelle (biologique), naturelle, instinctive de sentiments forts, primaires, au temps des "âges farouches" ?

Crispation	TERRE
NOIR
Pour l'angoisse vertiges d'abîme	gouffres obscurs mort	A	PEUR
ha..ha..ha	aigu
Détente	AIR
BLANC
Pour l'amour naïf enfance	havre et majesté	E	INNOCENCE
heu..heu..heu	grave
Crispation	FEU
ROUGE
Pour la colère la fureur de vivre	joies orgiaques	I	VIOLENCE
hi..hi..hi	aigu
Détente	EAU
VERT
Pour la "rumination" méditation rythmes	temps nature	U	PENSEE
hu..hu..hu	grave
Détente	UNIVERS
BLEU
Pour l'adoration arc en ciel de l'inconnu	extase	O	ESPERANCE
ho..ho..ho	grave

L'ARC	LA FLECHE	LA CIBLE
			(a e  i    u  o)

("le lieu et la formule")

Entre l'alpha et l'oméga, entre le commencement et la fin il y a

la U  I  E

(U=V.. latin)

Et pourquoi pas révéler à la façon des anciens cabalistes
l'imprononçable nom de Dieu en 5 voyelles

I  E  O  U  A

(I=J.. et U=V.. latin)

A	noirs corps et velus
E	candeurs d'êves apeurées détentes
I	pour preux
U	vins des mers
O	êtres anges

O l'homme égaré ion viol lait de ses yeux