II
Je devine, à travers un murmure, Le contour subtil des voix anciennes Et dans les lueurs musiciennes, Amour pâle, une aurore future !
Et mon âme et mon coeur en délires Ne sont plus qu'une espèce oeil double Où tremblote à travers un jour trouble L'ariette, hélas ! de toutes lyres !
Ô mourir de cette mort seulette Que s'en vont, - cher amour qui t'épeures, - Balançant jeunes et vieilles heures ! Ô mourir de cette escarpolette !