Je vis assis, tel qu'un ange aux mains d'un barbier, Tels que les excréments chauds d'un vieux colombier, Puis, quand j'ai ravalé mes rêves avec soin, Doux comme le Seigneur du cèdre et des hysopes, A. Rimbaud |
- Texte de l'augraphe donné à Léon Valade (Blibliothèque Municipale de Bordeaux).
- Quelques variantes dans le texte de la copie de Verlaine (Bibliothèque Nationale, ancienne collection Barthou).
- Première publication dans Lutèce, 5-12 octobre 1883.
Écouter le poème
- Oraison du soir dit par Fabrice Lucchini