O saisons, ô châteaux, O saisons, ô châteaux, J'ai fait la magique étude O vive lui, chaque fois Mais ! je n'aurais plus d'envie, Ce charme ! il prit âme et corps, Que comprendre à ma parole ? O saisons, ô châteaux ! [Et, si le malheur m'entraîne, Il faut que son dédain, las ! O saisons, ô châteaux, |
* Titre du brouillon d'Alchimie du verbe.
** Les six derniers vers sont barrés en croix.
- Texte du manuscrit de la collection Pierre Bérès.
- Rimbaud a repris une version légèrement différente dans Une saison en enfer (Alchimie du verbe).
- Il existe aussi un brouillon récupéré par Verlaine, où les deux premières lignes sont
biffées (c'est pour dire que ce n'est rien, la vie / voilà les Saisons) et où le poème contient quelques
autres variantes.
- Première publication dans La Vogue n° 9, 21 juin 1886.